À celle que je n'appelle plus maman
À celle que je n'appelle plus maman
Ce poème sûrement ne sert à rien,
Quand en nous, c'était pour la vie.
Mes yeux à mi-hauteur, et tu es partie,
La solitude quand je déplie la main.
Pourquoi toujours et ne rien oublier ?
Ta photo me console sur le chevet.
Il me restera une façon d'aimer,
Avoir de tes nouvelles en secret ?
Qui serais-tu, quelle femme deviendras tu ?
Tu es si belle dans ce blanc têtu.
Un reste de toi, et tu restes derrière,
Combien d'années encore a te taire ?
Plutôt solitaire dans un triste essai,
L'écriture est donc ce qui est vrai.
Mais ces ratures agressent les adieux,
Dans une lettre, le cœur à l'envers.
La mer toujours répète son couplet,
Et que pleure ta mère assis sur les galets.
La mer pose toujours ses liens,
Une vague salé, lui dit « viens ».
Et ces fleurs plastic qui ne fanent pas,
Innacescibles me dirait les gens.
Tous les bouquets de roses que tu voudras,
Pour celle que tu n'appelles plus maman.
À celle que je n'appelle plus maman
À celle que je n'appelle plus jamais
À celle je ne connais plus du tout
À celle qui m'as donné la vie
À celle que j'ai complètement oublier
À celle qui fais partie de mon passé ...
Merci de m'avoir lu...
Vous pouvez me donner vos impressions...
C'est gratuit...et sans obligation.