Ma Plume...Mes Mots...et Mes Maux...

À celle que je n'appelle plus maman

 

À celle que je n'appelle plus maman

 

Ce poème sûrement ne sert à rien,
Quand en nous, c'était pour la vie.
Mes yeux à mi-hauteur, et tu es partie,
La solitude quand je déplie la main.

Pourquoi toujours et ne rien oublier ?
Ta photo me console sur le chevet.
Il me restera une façon d'aimer,
Avoir de tes nouvelles en  secret ?

Qui serais-tu, quelle femme deviendras tu ?
Tu es si belle dans ce blanc têtu.
Un reste de toi, et tu restes derrière,
Combien d'années encore a te taire ?

Plutôt solitaire dans un triste essai,
L'écriture est donc ce qui est vrai.
Mais ces ratures agressent les adieux,
Dans une lettre, le cœur à l'envers.

La mer toujours répète son couplet,
Et que pleure ta mère assis sur les galets.
La mer pose toujours ses liens,
Une vague salé, lui dit « viens ».

Et ces fleurs plastic qui ne fanent pas,
Innacescibles me dirait les gens.
Tous les bouquets de roses que tu voudras,
Pour celle que tu n'appelles plus maman.

 

 

 À celle que je n'appelle plus maman

À celle que je n'appelle plus jamais

À celle je ne connais plus du tout

À celle qui m'as donné la vie

À celle que j'ai complètement oublier

À celle qui fais partie de mon passé ...

 

Merci de m'avoir lu...

Vous pouvez me donner vos impressions...

C'est gratuit...et sans obligation.

 

 



22/11/2009
4 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 4 autres membres