Je t'en prie ne m'oublie Jamais...
Bonjour ou plutôt bonsoir Joss.
Comme tu le sais déjà j'écris ce que je pense
et non ce qui fait plaisir
alors voici :
Mon bel amour a toi je pense encore et si fort,
je t'avoue que de toute ma vie jamais un homme aussi bon,
aussi tendre, aussi charmant n'a hanté ma vie,
mes jours et mes nuits de cette façon aussi intensément,
agréablement.
Ta façon de m'écrire est pour moi la septième merveille du monde. Rien n'a plus d'éclat à mes yeux de petite fille que de lire
ces lignes toujours bien exprimé.
Tu sais tellement bien te raconter.
Toujours avec une hâte hors du commun,
moi je venais chaque fois lire une histoire nouvelle,
belle ou triste.
Peu m'importait l'histoire parce que cet écrivain,
c'était toi.
Et combien de fois je t'ai relue avec toujours cette joie au cœur.
Toi qui savais faire briller mes yeux et battre mon cœur.
Moi qui a toujours se besoin constant,
se sentiment d'aimer
et d'être aimer a tout brisé,
tout détruit ce qu'on avais construit ensemble.
A force de te vouloir, te désiré, te gardé dans mes bras,
je t'ai éloigné de moi.
Moi qui étais trop pressé
et toi qui demandais seulement un peu de temps.
Comment pourrais-je un jour t'oublier.
Toi qui m'as apporté tellement de bonheur,
de plaisir, de sentiment humain,
de chaleur dans la froideur da ma vie.
Comment peu tu penser un seul instant que je puisse t'oublier…
Ça jamais.
Jamais de toute ma vie je ne pourrai faire ça.
De toi je garderai toujours enfouie au fond me moi
tout ce qui fait de toi un être sublime, un être a part entière…
Tes yeux, ton regard perdu, captivant.
Ton doux sourire attendrissant qui me bouleverse
et qui malgré tout me chavire encore.
Tu es et resteras a jamais pour moi
un homme extraordinaire et ce a l'infini.
Moi qui ne voulais plus pleurer,
pardonne-moi mais ce soir je lie et relie ton roman
qui me touche et me fais mal en dedans.
Et pourtant j'ai beau essayé de contenir mon chagrin,
mais malgré moi les larmes me monte encore aux yeux,
pour rouler sur mes joues et atteindre mon cœur.
Ce cœur qui est pourtant si imparfait.
Moi qui voulais t'aimer toute ma vie,
te chérir, t'adorer, et pourtant…
Je n'ai pas sue t'attendre mon bel amour,
toi qui avais besoin de temps.
Toi l'homme presque invisible a mes yeux
mais pourtant si réel pour mon cœur.
Toi qui es digne d'une belle princesse
tout droit sortie d'un conte de fée.
Toi qui as droit au bonheur,
qui a droit d'être aimé pour ce que tu es et ce que tu vaux.
Toi qui a des tas de belles qualités, mais qui ne les vois pas.
Je sais que tu voyais et ressentais tout
ce que je vivais à l'intérieur de moi coté sentiment.
Je savais tout ça mais je ne voulais pas t'étouffer davantage,
parce que je sentais que parfois tu manquais d'air.
Je t'aurais donné volontiers le bouche a bouche
comme pour te réanimé,
mais tu m'aurais sans doute repousser.
A force de se sentir repousser, on quitte, on s'en va.
Mieux on fait de l'air.
Pour ne plus avoir mal, je me suis jeté à l'eau sans savoir nagé.
Je me suis laissé emporté par le courant, porté pas la vague,
bercer par tes belles paroles douces et profondes
et je suis ainsi arrivé à la grève poussée par le vent.
Oui j'ai échoué là, sur le sable me sentant encore plus perdue.
Quand je me suis éveillé j'étais toute seule encore une fois.
Je tiens quand même à te dire
à quel point je t'es espéré dans la profondeur de mon cœur,
que je t'ai aimé dans le silence de mon âme et que rien
JAMAIS,
ni personne ne pourra me faire oublier,
ni effacer ce beau roman inachevé.
Tu es et resteras pour moi mon beau rêve bleu,
ne plus jamais m'éveiller sans avoir rêver de toi mon bonheur.
Pour le reste de ma vie tu seras a jamais gravé dans mon cœur.
Même si nos route se sépare aujourd'hui,
je fais le serrement que où que tu sois, quoi que tu fasses.
Si tu as besoin de moi je serai là.
Un ange là-haut guidera tes pas !
Je t'en prie ne m'oublie jamais…
Toi mon beau roman inachevé…
Clémence Ta douce amie pour toujours…xxx