Poème de la nuit
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** Poème de la nuit **
Un jour doux d'été on s'est rencontré.
Je ne sais pas pourquoi je t'ai aimé.
Peut-être ta plume à l'ancre rose
Peut-être ton humour, ta gentillesse où autre chose.
Mais en tout cas j'ai succombé.
Malchance je me suis prise.
On sera juste amis.
Dommage pour moi.
Tant mieux pour toi.
Je me suis fait passé une petite vite,
Depuis longtemps toi tu hésite.
Car toi tu vie toujours dans ton passé.
Tu n'as pas de place pour le présent.
Tu n'as pas de place pour les bons moments.
Et je ne crois pas attendre longtemps.
Moi je suis juste une fille sage,
De passage.
Qui sur tes jours a fais l'ombrage.
Ne crains pas, tu ne feras pas naufrage.
Peut-être qu'un jour on ne sait pas.
Peut-être qu'un jour tu regretteras.
Mais sache que je suis là.
Et qu'à mon cœur tu ne réponds pas.
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Un soir banal,
Rien de spécial.
Un jour de congé,
Rien a changé.
Je rentre sans un mot,
Car il est encore tôt.
Pas une lettre,
Pas un mot.
J'ai mal à la tête,
Car je pense que tu me tournes le dos.
Peut-être dors-tu encore
Je crois ne pas avoir tord.
En silence dans mes pensées,
Je te cherche,
Sans cesse,
À toi j'ai pensée.
Dans l'ombre tu es,
Mais loin tu es.
Et moi seule je reste là.
Rien dans mes bras.
Avec moi tu as joué,
Tu m'as trompé.
Tu m'as joué un tour.
Toi qui m'avais fais miroité l'amour.
Ce garçon m'as fais pleuré,
Sans que je l'ai mérité.
Moi qui ne voulais que l'aimer.
Et j'ai commencé à hurler.
Je ne pouvais croire cela.
Tu n'aurais jamais du me faire ça.
Mais ce n'est pas un rêve,
C'est comme une poussé de fièvre.
Sa m'as brûler, je le répète.
Tu me demandes pardon,
Moi qui tout ce temps la,
Croyais que tu étais un bon garçon.
Bien sur je te rejette,
Comment pourrais-je te pardonné.
Tu m'as trompé,
Comment dois-je réagir.
Tu as anéanti ma vie.
Tu m'as fait pleurer.
Tu m'as humilié.
Maintenant tu vas t'éclipser.
Je dois tout recommencer.
Sans toi avec un énorme regret.
Car à jamais moi, je t'espérais.
** Je n'abandonnerais pas **
Je suis vidée,
Trop épuisée.
Je ne peux plus avancer,
Sans tomber.
Je meurs,
De l'intérieur.
Plus personne ne fait attention,
À mes émotions.
Que j'aille des hauts et des bas,
Ils sont toujours comme l'Himalaya.
Froid et distant,
A vous glacer le sang.
Mais je continue à me battre,
Pour ne pas qu'on m'abatte.
Je ne baisserais pas les bras,
Pour abandonner tout ce que j'ai fait jusque là.
Je ne veux plus de ton amour,
Mais j'accepte ton amitié toujours.
J'ai beau cherché à comprendre,
Tu as brisé ce que j'avais de plus tendre.
Dis moi pourquoi c'est comme ça
Tu as détruit les sentiments purs en moi.
** Je suis ce que je suis **
Je sais je suis un peu gamine,
Pas toujours très maligne.
Je ne suis pas toujours joyeuse,
Ni jamais malheureuse.
Mais je profite de ma vie,
Et vos avis,
Me blesse parfois,
Mais jamais deux fois.
Je suis ce que je suis,
Tu es ce que tu es.
On peut dire que tu es mieux,
Mais moi je n'y crois pas tant que je ne l'ai pas vu de mes yeux.
J'aime ce que je suis,
Avec mes soucis et mes envies.
Je ne voudrais pas changer,
Pas t'imiter,
Car je suis moi .
** Un ange passe **
Un ange passe,
Et la vie trépasse.
Fini les ennuis,
Tout ces petit soucis.
Qui nous pourrissent la vie,
Et nous détruisent petit à petit.
Maintenant je pars,
Loin dans le noir.
Sans me retourner,
Sans pleurer.
Fini la douleur,
Sans aucune une rancœur.
Maintenant je suis loin,
Trop loin.
Je ne reviendrait pas,
Oublie-moi!
** Une simple entaille **
Disparaître,
En un éclair.
Partir, fuir,
Pour ne plus souffrir.
Un souffle apaisant,
Comme le vent.
Une simple entaille,
Sa ne fait pas mal.
Le mal je lui dis adieu,
Il le lit dans mes yeux.
Une larme qui coule,
Comme la vie lentement.
Mais qui à la fin s'écoule,
Pour toujours…
** Sans arrêt les mêmes gestes **
Un sourire,
Dans un soupir.
Une parole,
En un bémol.
Une larme,
Comme une arme.
Un baiser,
Pour aimer.
Tu as joué avec moi,
Je ne m'y attendais pas.
La vie n'est que gestes,
Que l'on répète sans cesse.
Savoir apprendre un jour de mes erreurs,
Ne plus offrir, ne plus donner.
De peur d'avoir peur,
Savoir effacer, dominer, maîtriser mes douleurs.
Pouvoir t'oublier,
Sans se retourner.
Pouvoir partir,
Sans souffrir.
Pouvoir se quitter,
Sans pleurer.
Pouvoir te dire au revoir,
Sans se voir.
Pouvoir partir enfin,
Au loin sur le chemin.
Au bout du chemin,
Une main.
Est-elle le bien ou le mal?
Je m'en fou pas mal.
Je veux partir loin,
De tout, de moi, de toi.
Ne plus entendre ta voix,
Qui résonne en moi.
Si tu pleurs,
Pour moi se sera le bonheur.
Car se sera la preuve,
Que j'étais dans ton cœur.
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Bienvenu à tous et à toute,
Ici c'est mon blog,
j'attend votre avis avec impatience ,
mais surtout ne jugez pas mon coeur et mes états d'âme.
C'est tout se que je voulais dire pour le reste lisez le poème.
Je vous propose de m'envoyer vos commentaires bons où mauvais.
Merci à Tous
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** Ton Amie Malgré Tout Bibitte **
PS. Tu sais les jeux de miroir…
Ne me font plus rire,
Ni rougir…