Ma Plume...Mes Mots...et Mes Maux...

Quand j'écris...... l'amour

Quand j'écris......

Quand j'écris...... l'amour

 

 

 

Sa plume caresse ma douce peau blanche,
La sève s'élance et sur moi s'épanche,
La pointe grésille sur le grain défloré,
D'une page qui s'enivre des traces colorées,
Que l'étreinte sur moi enflammée de ma vie,
A laissé pour toujours comme fer rougit,
A laissé pour toujours une âme épanouie...

 

 

Rêve

Je brûlais déjà pour lui,
Inconnue il était celui,
Que chaque nuit j'imaginais,
Je m'endormais dans ce secret.

Son beau regard posé sur moi,
Il devenait ma seule loi,
Et tous mes sens me dominaient,
Car je savais, je l'adorais.

Les senteurs fines de son corps,
Jetaient alors sur moi leur sorts,

La douceur chaude de sa peau,
Hissait toujours mon coeur plus haut,

Au sens dit du senti,
Un jour c'est vrai je défaillis,

Anéanti, le souffle court,
Je devinais un tel amour,

Feu d'artifice pour sa vie,

Bouquet final dans notre lit,

J'étais sa femme, c'était ma vie,
Chaleur, bonheur, tendresse qui,
Par son toucher et son sourire,
Montait ma joie à en mourir.

Mes longs cheveux fins flottaient au vent,
Ils m'invitaient à ce serment,
Plus qu'un mariage assurément,
Une vie à deux tout simplement.

Je n'étais plus que son enfant,
Il était bien plus que mon amant,
Nous n'étions qu'un apparemment,
Brillant de feux comme un diamant.

Après une nuit d'amour au firmament,
Tels deux anges en arrivant,
Toujours unis comme deux aimants

Alors mon âme s'ensorcelait,
Alors mes yeux s'émerveillaient.

 

Toi bel inconnu

Les senteurs délicates d'un parfum inconnu,
Soudain charment mon coeur, ensorcellent la rue.

Mes pas ralentissent, je tourne la tête,
Vision angélique, mon souffle s'arrête.

Il passe, me dépasse, ma robe l'effleure,
Frissonne mon bras, comme danse une fleur.

Sa silhouette masculine ondule maintenant devant moi,
Mes idées s'entrechoquent, vois mon âme en émoi.

Mon espace se fige en ces brefs instants,
Bouillonne mon sang, réagir mais comment ?.

Déjà il s'éloigne et ma main qui se tend,
Ma gorge se serre, mes esprits je reprends.

Je m'élance ardemment, le soleil au zénith,
entraîne ma course, encourage le rite.

Une porte se ferme, il avais disparu,
Je reste derrière, avais-je bien vu ?...

 

 

Regard


Mon regard de femme,
La douceur et la flamme,
Qui embrase mon âme,
Qui annonce la gamme,
Du sourire et des larmes,
Symphonie qui me charme...

 

 

 

Et si l'on parlait un peu d'amour.......


Et si vous me parliez un peu de l'amour,
Ces images en vos coeurs sans détour,
Pudeur de vos phrases intime,
Excès de vos corps à la prime.

Et si vous me parliez un peu de l'amour,
Voici donc vos pensées mises à jour,
Différence du senti, des élans,
Voici donc vos intimes penchants.

Sensuelle romance italienne,
Pour vous se déchaîne sans gêne,
A deux vos âme transcende,
Vos jours et vos nuits qui s'amendent.

Divines émotions de cet homme,
Éternel chemin qui les somme,
De changer cette bête endormie,
En humain vers le dieu de la vie.

Merveilleuse est la joie d'exister,
Propagande pour le couple exploité,
Pour vous une complainte enrouée,
Ou à deux simplement partagée ?

Engeance aux prunelles haineuses,
Pour vous ces athlètes gagneuses,
Ne peuvent recevoir une coupe,
Le sport nécessite ce doute.

Afin d'engendrer la victoire,
Afin pour les autres savoir,
Faire passer l'être aimé avant soi,
Comme une mère son enfant est sa loi.

En nous fragile secret,
Ne survit qu'en un coeur enfermé,
Comme bourdonne cette chanson,
Qui dans le soleil change de son.

Fantasmes discrets, vous les cachez,
Qu'un acte érotique, vous demandez,
Plaisir égoïste, vous questionnez,
Pas d'autres desseins, vous supportez.

Comme cet auteur désire ces instants,
Envies assouvies au temps présent,
Décoincent les dires en vérité,
Annoncent plaisirs si passionnés.

Car l'amour fait marcher le monde,
Pour un oui pour un non,
Une enfant de la ville ou des champs,
Pour jamais ne plus être perdant.

Pour un dieu, un ange passant,
Pour un an ou deux mille ans,
Pour sans cesse combattre l'ennui,
Pour ces mots : J'aime...violence j'oublie...

 


Voici mes rêveries de jeune femme à vingt ans.

Clémence xxx

 

 



18/07/2010
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