Ma Plume...Mes Mots...et Mes Maux...

Seule sans abrie

De  la  feuille  de  papier  à  l'écran  

en virtuel rien n'est pareil.

 

Seule sans abrie

J'aimerais pouvoir rentrer chez moi

Mais je n'ai plus de toit

 

Je n'es jamais il me semble rien demandé à la vie

Mais aujourd'hui doux Jésus je te supplie

De m'aider a trouvé un abri

Aussi joli que tout petit

 

Je n'ai pas besoin de grand-chose

Seulement un toit tout droit

Pour me protéger de tout les intempérie

Tu vois Dieu pour la première fois demandée, j'ose

 

Quatre murs en carton au cas ou l'hiver perdurent

Une cheminée longue, étroite, même fêler

Pour y faire brûlé tous les mauvais souvenirs du passé

 

Faite de mousse, une simple couverture

Pour penser ma froidure

Une porte que je puisse  fermé a clé

Pour ne pas que personne puisse y entré

Car mon coeur je l'ai enfermé

Dans un trou que j'ai enterré

 

Une fenêtre que je puisse ouvrir

Pour me nourrir d'un peu d'air pure

Deux petits bas pour les grands froids

En peu de verdure à manger Pour les temps dure

Pour m'abreuver, je boirais l'eau de la rivière

 

Je veux juste, juste sa

 

Ce soir, je voudrais bien rentré chez moi

Quand dehors il fera noir Pour me mettre à l'abri d'un toit.

Et que demain lorsque je  serai éveillé

Et que la journée quand le soleil vas se levé

Être là pour te remercier

 

Je n'ai plus de domicile

Et la vie ne m'est pas facile

Mais la vie est ainsi faite

Il y a des victoires et des défaites

Il faut oser l'affronter

 

En sachant que ce soir

Je m'endormirai dans le noir

Le reflet de la lune adoucira mon visage

Une larme s'écoulera telle la pluie dans l'orage

Les éclairs frapperont mon triste paysage

 

La pénombre apparaîtra comme un sombre présage

Le ciel noir apprivoisera mon faible esprit

Emportant avec lui tout espoir de survie

Tourbillon de mal-être, avalanche sans abri,

Attendre le soleil, laisser tomber la pluie …

 

L'âme en peine...

A la lueur d'un semblant de bougie,
J'éclaire mon manuscrit.
La douleur, cette nuit est intense.
Mon coeur est dans sa sombre errance.

 

L'âme, à jamais torturée, j'ai écrit,
Le reflet de mon coeur dans ce manuscrit.
J'irai sur la tombe de mes sentiments perdus,
Pour enterrer mon coeur dans un monde sans vertu.

 

A quoi d'autre penser,
Quand le corps est ainsi écorché ?
Comment entrevoir le bonheur,
Si dans cette vie résonne la douleur ?

 

A jamais assurée d'avoir une autre vie,
Je vais aller en paix, soyez sûrs mes amies.
Changer le monde, changer ma galaxie,
Mon coeur a disparu, mon amour s'est enfui...

 

Vent de plénitude.....

Gorge nouée,

Vent de colère 

En mon âme dévastée

Criant misère 

 

Douleur vive dévastant 

Mon chemin de prière 

En ces heures indécents

Gronde l'orage, tordant toutes mes misères

 

Marchant au claire de lune 

Me noyant dans cette infinie

Planant comme une divine 

Plénitude apaisant mes mots meurtris

 

Angélique douceur, me berçant dans sa béatitude

Céleste horizon,

En ce vent de quiétude

Où abandon rime avec déraison 

 

Éclat cristallin

Lavant mon chemin

Faisant la route, de ma servitude 

Ouvrant mon coeur à la plénitude... 

 

J'ai vu  le matin, 

Mais je n'y puis rien
Mon sourire, c'est tout

Le reste je m'en fou

 

J'ai mal au cœur, devrais-je vous le dire…
Je soupire, car mes rires ne son que satyre, martyr…
Au pire, l'avenir ne peut me prédire un sourire…
Alors que dire...

 

Je ne sais pas je ne sais plus, je ne vie plus…
traduisant le mal être de mon être…

Dans la douleur de mon sort, malheureusement

je ressens…
J'ai froid…. J'ai chaud… dépourvu de mots,

mais comblé de maux…


Dans mes yeux j'ai aperçu le néant, floué par mes larmes
D'une souffrance interminable perpétué à mon âme…

Alors mon âme reviendras t'elle, que deviendrais-je ?
Dois-je avoir peur ou… aurais-je tout simplement droit

au bonheur…..

 

Perdu dans la nuit

Je suis perdu seul au milieu de la nuit à coté

de cette étoile qui brille

Où est perdu dans cet océan une parti de moi même

qui cherche sur l'eau le reflet de son étoile filante 

qui restera a gravé à jamais pour l'éternité.

 

JE NE VOULAIS JAMAIS ETRE UNE POETE


Et je m'intéressait guère à leur poèmes
Jusqu'à ce j'ai goûté la flamme de l'amour


JE SUIS TOUCHÉ AU CŒUR


Et je me trouvait obligé me dégager cette fameuse douleur


JE NE VOULAIT JAMAIS ETRE UNE POETE
Et je m'intéressait guère à leur poèmes
Brusquement je me met à l'écriture
Décrivant le langage du cœur
Toi l'amour
circulant aussi fort
Et aussi fraîche dans mes veines
Et aussi clair comme une lampe dans mon cœur

 

Vas t'en quitte moi ...

Ne reviens plus chez moi ...

Je ne t'aime plus l'amour ...

 

Clémence

 

PS : Ne vous en faites ceci est seulement un texte

J'écris ce que je ressens et c'est comme ça.

Mais j'avoue que ce texte je le ressens vraiment en dedans.

Y'a des jours ou tout me fais mal, c'est vrai.

Mais comme vous le savez je suis une femme forte et je retombe

toujours sur mes deux pieds.

Et je peu me refaire a chaque situation, difficile ou pas.

Je garde en moi la foi et je sais que j'en sortirai grandi.

Merci de me lire et Merci

Aussi pour tous ces beaux commentaires …

 

 

 

 

 

 



18/07/2010
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