Ma Plume...Mes Mots...et Mes Maux...

Stéphane CINQ ANS !!!

Partout encore je te cherche,

Parfois encore,

Malgré tout ce temps passé, je t'attends.

Toi que j'aimais, que j'adorais
Toi qui ne me comprenais,
Me voyant comme une simple humaine
À qui tu ne pouvais faire de peine.
Toi qui ne me voyais pas comme une simple amie.

Mais comme une mère sans répit.

J'espérais, J'espère, J'espérerai.
Steph, malgré toi, tu m'as fais mourir,
Mais ça, tu ne le sais pas, tu ne le sauras jamais.
Aujourd'hui, à l'instant même où j'écris,
J'attends encore,
Utilisant le peu de force qui me reste.

''Je t'ai écrit une lettre''
Mais elle ne te parviendra jamais
Je l'ai orné de mes plus belles lettres doré
Celles qui m'ont restée
Je sais que tu vas comprendre
Enfin,
J'ai simplement échoué…

Tu sais ?
Lentement je vois
Mes yeux se remplir
De larmes esseulées
Que je ne peux retenir
Peu à peu ma gorge se noue
Et les quelques mots
Deviennent flous
Ma main tremble déjà

Et puis…tu sais ?
Ce n'est pas une lettre
Que tu ne pourras jamais lire
Ce n'est que de mots tremblants
Entachés de quelques larmes
Et comme si ce n'est pas assez
Je vais enfin la signer
Et ça sera de sanglot…
"Je t'aime"

Une lettre pour un ange

Le 24 avril 2006
Un jour qui nous a tous marqués
Cinq longue année se sent écoulé
Et ton visage hante encore mes pensées
Cette lettre t'est destinée

Pour te dire à quel point tu nous manquais
Un prénom qu'on prononce souvent
Car à nos yeux tu es toujours présent
Un trait de visage que j'aperçois quelques fois

En croyant fort que c'est toi
Mais la dure réalité ressurgit
En pensant que tu n'es plus ici
Cette lettre t'est destinée

Pour te dire qu'on ne va jamais t'oublier

Toi, l'être tant aimé

Toi qui as nourri nos passé
Toi dont le sourire ne te quittait pas
Toi qui veille sur nous de là bas
Tu es parti à jamais
Sans faire d'adieu aux gens qui t'aimait

J'étais entrain d'écrire ce que je ressentais
Quand tout à coup quelqu'un à hurler ton nom
Je suis restée immobile sans aucun mot
Juste mes larmes esseulées qui coulaient

Je ne peux guérir de ton absence
Je sais que ça n'a aucun sens
Même si on dit que c'est le destin
Mais je n'arrive pas à oublier mon chagrin

Le temps passe chacun poursuit sa vie
Mais à chaque tombée de la nuit
Je te guette dans le ciel
Pour chercher la brillance de ton étincelle

Une date qui est ancrée à tout jamais
Celle du départ prématuré d'un ange tant aimé

Toi Stéphane, mon fils adoré

"Je t'aime"

Doux moments du passés
Ces moments si momentanément vécus
Ton dernier souffle en un instant
M'appris que de ce monde, que tu n'es plus

Tu me manque tant…
Toi,
Qui a été la source de mon sang
Toi,
Que j'ai toujours protégé de mon inconscience
Toi,
Que j'ai toujours porté en mon sein,

Jusqu'à la fin de ton existence.

Toi,
Qui a été la raison des doux moments
Ces moments éternellement gravés dans mon cœur
Tes yeux reflétant le plus beau des sentiments
M'extirpant de tous les malheurs.

Tu me manque tant...
Toi,
Que j'ai bercé en ces nuits de mauvais rêves
Toi,
Que j'ai guidé vers la voix de la bonté
Toi,
Que j'ai protégé de ma plus grande tendresse.

Toi,
Que j'ai allaité de mon être de mes mots tant aimés
Ces moment que seul toi a sus réellement adoucir
Ta main dans la mienne à tes premiers pas de vie
Te donnant le meilleur que je puisse sans faillir.

Tu me manque tellement…
Toi,
Qui as fait jaillir en moi la flamme de joie
Toi,
Que j'ai si doucement baptisé de ton âme d'amour
Toi,
Qui m'as inculqué les véritables lois.

Toi,
Qui a renoncer aux richesses du monde pour moi
Ces moments du passés à tes cotés
Tes moindres traits qui sont les miens
M'arpentent chaque instants avec des larmes coulées.

Tu me manque tellement…
Moi,
Qui a tant donner pour tracer ton court chemin
Moi,
Qui t'a jadis élever vers les plus haut cieux
Moi,
Qui t'a aimée et porter avec mes jeunes mains
Moi,
Qui a vieillit et marcher sur la contrée de dieu
J'aurais voulus tellement te dire je t'aime…

Mon fils…

Le temps s'écoule et s'affole la ronde des souvenirs,
Ceux que l'on croyait enfouis pour ne plus resurgir.
Je rêve à cet amour d'enfant, déposé dans mon cœur,
Ce temps là était Féerique et me laisse dans la noirceur.

Je suis perdue dans le brouillard de la solitude,
Tout m'a été donnée puis repris, envolée la plénitude.
Fallait il connaître tant d'amour pour qu'il s'évapore,
Me laissant sombrer dans l'agonie, sans réconfort.

Les promesses de dieu ne sont que des mots susurrés,
Au creux de mon lourd cœur alangui, comme déchiré.
Le goût de la passion fait place à une âcre amertume,
Chaque jour devient un combat que tout mon être consume.

Mon enfant s'en est allés, brisant notre alliance,
Abandonnée sur les rivages de la souffrance.
Je flotte à la recherche de la tendresse,
Perdue dans l'indifférence et la détresse.

Le temps qui passe

Les jours se suivent et se ressemblent
Et nous ne serons plus jamais ensemble
Le temps s'efface et ne laisse place
Qu'à la souffrance qui me glace

Les heures s'égrènent et je soupire
Tous les mots que je n'ai sus dire
S'entrechoquent et ils me blessent
Je voudrais te crier ma détresse

Les jours ainsi que les nuits s'étirent silencieusement
Dis-moi mon ange, là-haut existes-tu vraiment ?
Fais mon un signe dans le noir
Apporte moi un peu d'espoir

Trop plein de chagrin
Jour que j'espère sans lendemain
Je voudrais que le temps s'arrête
Ne plus jamais me dire peut-être

Mon fils que j'aime me quitte tout à coup
Je pleure avec espoir de te revoir bientôt
La mort est un autre monde qui
Malheureusement nous attends

Nous essayons de résister pour ne pas l'affronter
La tristesse nous suis jusqu'au bout
Avec espoir de ne plus l'avoir.

Je l'aime très fort, mais il est parti
Vers une nouvelle vie
Je pleure fort encore 
Là bas je crois qu'il dort
Je vois son corps
Son âme est dehors
Je l'aime si fort
Mais il n'est plus là

Je tiens à lui
Dans mes rêves je le suis
Soudain il s'enfuit
Quand il entend mon bruit
Avec lui je veux vivre
De son amour je suis ivre
Sans lui je ne peux pas survivre

A chaque nuit il vient me couvrir
Il me dit je veux voir ton sourire
Je lui dis non je veux mourir
Avec toi j'aimerai partir
Ne me laisse pas souffrir
Emmène-moi fais moi plaisir
De la vie je veux sortir

J'ai besoin de te sentir
J'ai besoin de tes respires
J'arrive pas à t'oublier après tous ces années
Prisonnière, de ton amour je suis condamné
Je t'aime Encore
Plus Grave plus Fort

Si j'écris tant de poèmes,
c'est pour soulager mon cœur,
il y a en moi, tant de douleur,
de ne pouvoir te dire "je t'aime"...

Mon amour pour toi, na pas de prix,
et a chaque tombée de la nuit,
mon fils je pense a toi,
et a tout ce que tu as vécu dans tes bras...

Je repense à ta voix,
celle qui me réconfortait quand j'étais mal,
tout simplement je repense à toi,
toi, qui me faisais rire quand j'étais pale...

Tout ces briser dans mon cœur,
en décidant de partir ailleurs,
c'est ce qui a tant fait couler mes pleurs...

A cette instant, j'ai perdu le goût de vivre
j'aimerais simplement moins souffrir,
pouvoir m'enfuir et revoir ton sourire,
juste une dernière fois me ferai moins souffrir...

Comment dire à une âme,
quelle me manque terriblement,
a part verser des larmes,
et se souvenir de lui en pleurant...

Juste l'envie de m'enfuir,
et de ne plus souffrir,
cette absence que tu me laisse,
et qui chaque jours, une fois de plus, me blesse...

Une simple pensée pour toi,
m'empêche de baisser les bras
j'espère qu'on se resserrera dans nos bras,
tout sa comme autrefois...

Mon fils je t'aime !
Je te parlerais, enfin je vais essayer…

Défiguré par le destin
Tu ne me reconnaîtras pas
Ou bien tu ne connaîtras qu'une voix
Celle qui te berçait et qui te réveillais
Le soir quand tu dormais et le matin

Mais tu ne connaîtras sûrement pas
Son odeur celle d'une liqueur
Voire même de plusieurs …
Sinon je ne pourrais jamais supporter
Cette langueur qui n'a qu'une couleur
Celle d'une réelle douleur

Enfin tu ne te rendras même pas compte
Que j'étais là avec mon désarroi
Mes insomnies, mes drogues de toi
Et les quelques bouts qui restent
De moi…

Je ne sais plus…
Je ne sais pas… je me dis
Il se peut que tu sois vraiment là
Alors je me réveillerais, je me rassurais
Je me dessaoulerais et je marcherais droit
Je me porterais bien, pour toi…

Pour que tu n'aie encore plus froid
Parce que tu avais toujours mal
Quand j'allais mal, même plus que moi
Je ne sais pas…

Il se peut que je ne vienne pas
Que je vais me terrer
Dans une de ces tavernes
Comme un vieux rat
Mais tu seras sûrement là
Dans mes hallucinations ivres

Et je te parlerais, mais tu ne répondras pas
Comme depuis cinq ans…
Quand un ange bien obéissant à son Dieu
T'a banalement pris vers ses cieux
Pour les embellir de tes yeux…

Et aigrir la terre qui s'est réduite
A un verre toujours plus amer...
Dans lequel je m'égare bien volontaire
Dans le désespoir de te perdre
Dans l'espoir de te retrouver…ailleurs

Tu es entré. Tu es partie
De ma vie tu as sorti
Tu me manque beaucoup
Tu m'as quitté d'un seul coup

Quand ils m'ont dit que t'es chez Dieu
J'ai pensé que ce n'est pas sérieux
Quand je t'es vu allongée comme un ange
C'était un sentiment de peur étrange
Je voulais rester seule avec toi

Et que personne ne me dérange

Je ne savais quoi faire
Je ne savais quoi dire

En mettant les genoux sur le sol j'ai supplié Gabriel
De te laisser avec moi dans notre vie réel
Mais c'était trop tard t'es déjà arrivée au Ciel

A chaque fois je pense à toi je pleure
A chaque fois je pense à toi je meurs
Avec toi j'ai connu le sens du bonheur

Ne t'inquiète pas je me débrouillerai avec ma douleur
Tu étais la source de ma fierté et de mon honneur
J'ai tellement dit que le fait de choisir ta vie me ferais peur
J'ai demandé aux gens pourquoi il ne m'a pas pris
J'ai toujours eu la même réponse mais je n'ai pas compris

Personne me Comprends
Personne m'entends
Quand il pleut je cours vers ta tombée pour te recouvrir
Je te dis réchauffes-toi je ne veux pas te voir mourir
Puis je cris d'une haute voix
Oh mon Seigneur! Ou es la Lois des humains

Personne me comprends
Personne m'entends
Enfin j'ai découvert
Que tu n'es pas partie
De ma vie tu n'as pas sorti
Tu m'as laissé de beaux souvenirs
A travers lesquels je peux

Encore entende Ta douce voix

Et imaginer tes beaux sourires
Je peux encore sentir tes respires
Mais cela m'empêchera pas de souffrir
A chaque fois je pense à toi je pleure
A chaque fois je pense à toi je meurs

Mon fils

Je ne comprends pas,

et ne comprendrai jamais
Ce départ inattendu......
Mes larmes ruissellent,

mon cœur sanglote,
Et je pense à toi.......

Toi mon fils adoré, toi qui m'as laissé
Pourquoi as-tu fermé ce livre?
Ses chiffres résonnent encore dans ma tête!!!!
Le 24 Avril 2006....Fin de la page.

Reste ta mémoire pour faire parler de toi,
Et que tout ceux qui t'on aimé,
Ne t'oublie jamais.....

J'ai une famille que j'aime
Et mon cœur ne fait que penser
A un jeune homme admirable.
Une famille, qui a souffert
Par cette horrible tragédie,
Un fils qui adorait la vie
Je ne le reverrai plus.
Ca fait mal... trop mal.

Et moi qui t'ai donné la vie" mon fils"
Maintenant c'est moi qui reste sans VIE §...

Larmes funestes

La mer au bord des cils ;
Ravageant tes yeux d'une ombre d'amertume ;
Pensée qui fait déborder le vase de ta tristesse ;
Une goutte tombe ; ' ;
Glissant le long de ma joue et se faufilant entre mes lèvres.
Percée salée ; comme la douleur qui me ronge.
Puis une autre ; ' ;
Celle-là aussi est salée.
Puis deux autre ; ' ; '
Un océan autour de moi ;
Je nage;
Dans la peur ;
Seule ;
Je  flotte puis je coule ;
Lentement ;
Je me noie ;
Je meurs ;
En étant toujours aussi vivante ;
Je disparais ;
Mais je te vois ;
Tu t'enfonce ;
Dans les airs ;
C'est fini ;
Au fond de l'océan ;
Tu t'es envolée.

Les oiseaux ne viendront plus chanter

Je suis, si triste de ton absence
Seul sur ce chemin austère
J'avance, il fait si froid
C'est l'hiver dans mon cœur
Que sont ILS devenus tous ces oiseaux
Aux chants mélancoliques si envoûtant ?
Qui jadis venaient danser sous ta fenêtre?
Ont-ILS perdus ton adresse ?
Même les fleurs ne brillent plus de leurs éclats d'antan
Me privant ainsi de ces parfums que tu aimais tant
Je crains désormais la brise du soir qui me rappelle
Ce jour ou les lumières se sont éteintes dans tes yeux
Si fragile mais si forte celle qui pleure son fils en silence
Portant sur ses épaules dignement cette souffrance
Dissimulant larmes et peines derrière cette élégante chevelure
Elle est si triste, nous sommes si triste de ton absence
Valeureux et courageux guerrier
Menant la bataille jusqu'au bout
Sur ton lit de douleur
Tu redonnes espoir aux visiteurs
Au crépuscule venu
Les souvenirs m'envahissent
Il pleut, dans mon cœur
Je suis si triste, si triste de ton absence …
Il me tarde de te revoir bientôt dans le paradis,
Promesse divine.
A mon fils

Sur ce sentier j'erre
Sentier froid et désert
Comment est-ce arrivé?
Il faut me l'expliquer.
À chaque pas
Dans le désespoir, je tombe encore plus bas
Ta présence pourrait me réconforter
Seulement, tu m'as oubliée.
Je pourrais bien m'en sortir
Si je commençais à courir.
Mais je suis fatiguée
Ce combat m'a épuisée.
Tout serait plus facile
Si j'abandonnais.

 
Pourtant
Quelque chose me retient, en moi
Je ne peux tout laisser tomber
Je dois continuer
Je peux y arriver.
Je retrouverai la lumière
Et l'espoir

Pourquoi toi Steph

Dès que je regards Le ciel
Je me rappelle de toi Steph
Tu m'as tout donné, quand tu étais à avec nous
Je survis, mais j'essaie de trouver Ton Ombre
Oh mon cœur! Tu t'es enterrée au cimetière
Je sens encore de toi, je sais que tu me surveille
Entrain de écrire comme d'habitude
Puis d'un coup de fil, j'ai reçu la nouvelle du choc
Que ta date de fin était comme ce jour là
Stéphane, comment tu as pu quitter sans moi ?
Comment je vais cesser de pleurer pour toi ?
Je t'en supplie, dis un mot ! Réponds-moi !!
Est ce je n'ai pas le droit de te revoir ou quoi ?
Est ce je mérite tout cela ?
Si oui, quelqu'un me dit pourquoi ?
Je t'en pris j'aimerai réentendre ta belle voix
Reviens, je te donnerai ma vie pour que tu reste
Tu es tout pour moi , tu es mon bébé
Je ne supporterai ni ma vie ni ma mort
Car en tout cas, je n'arrêterai pas de t'aimer si fort
J'écris, je compose et j'écoute plusieurs chansons
Je n'ai pas trouvé celle qui décrit ce que je ressens
Il fallait que j'arrête le temps pour te sauver
Je t'aime mon enfant, mon cher fils adorée
Chérie le 9 Février, tu aura tes 22 ans
Je serai avec Mélanie et ces filles à la maison
En ce jour là je vais pleurer jusqu'à perdre ma raison
Depuis que tu es partie mes jours deviennent des Saisons

......Je t'aime.....
......Je t'aime.....
......Je t'aime.....

Et moi, je cherche toujours pourquoi tu as vécu

Que quelques beaux printemps,
Le but de ta petite existence.
Pourtant, chaque fois que je vois une étoile briller

Dans le ciel,
Je pense à toi.

Un petit ange part,
Un petit ange vient,
Et pour un ange qui part,
Une étoile devient brillante.
Là-haut, bercé par les nuages,
Sa maison n'est maintenant
Plus qu'une fleur en voyage,
C'est une rose bleu évidemment.
Mais là-bas, près de ses bagages,
Un petit être gémissant
Veut retrouver ses parents
Et du haut de sa montagne,
Ce petit ange, calmement,
Le rassure en lui disant
Que toujours il sera présent,
Dans leur cœur, évidemment…

 
Pour toi je regarderai, la nuit, les étoiles

Mais cette fois a chaque Printemps

Je viendrais
Avec des roses dans la main
Je n'ai marre de voler à la vie,
Chaque jour, un jour de plus,
Acquittons-nous de cette dette,
Mettons-nous à jour,
N'aies pas peur. ! Possède-moi !
Tu m'as toujours appartenu.. !

Ton dernier logis

De chêne, d'acajou,
ou de simple sapin,
assemblé comme un écrin,
pour y enfermer un précieux bijou ?
Capitonné de satin
orné de fines dentelles,
pareil à un lit à baldaquin,
cachant des amours maternels ?
Ciré ou bien vernis,
enjolivé de pratiques poignées.
Objet servant d'étui,
pour une dernière destinée !
Du plus beau cercueil,
a la plus belle prière,
reflet de l'orgueil,
ou cache misère,
tu es parti en flammes,
et ensevelis sous terre,
sans conserver l'âme,
déjà parti pour le paradis !

Lieu maudit !

Voici ta dernière habitation,
hantée par la déraison.
Dernière destination,
Envahi par l'émotion.
Royaume de la désolation,
Ta voix résonne à l'horizon.
Lieu propice à l'oubli,
Où règne l'ennui,
Lieu privé d'espoir, de vie,
Jardin pavé de corps meurtri.
Coin de terre,
T'accueillant sans manière.
Coin de terre,
Dans un anonyme cimetière,
Te voilà donc sous cette pierre,
Scellé à jamais par nos prières.
Il pleut dans mon cœur
il pleut dans ma vie
grande est ma douleur
car tu es parti.
Comme tu me manques
mon tendre fils, mon ami
tes yeux espiègles me manquent
reviens moi en rêve et souris...
toucher de nouveau ton doux visage
comme il était beau, mon chéri
rire à tes petites blagues
dieu! Sans toi quel ennui
recevoir encore tes bisous
ça me manque mon ami
toi seul, les faisait si doux
il ne faut pas que j'oublie
la vie ne t'a pas gâté
trop tôt pour toi, elle s'est arrêté
comme tu vas me manquer
jusqu'à la fin de ma vie
il pleut dans mon cœur
il pleut dans ma vie
grande est ma douleur
car tu es parti.

JE T'AIME, n'oublie pas que
dans mon cœur il y aura toujours
de la place pour toi.
Et du haut de ton paradis
Tu nous protège et guide nos pas.

L'amour ne disparaît jamais !
Le chemin vers le Paradis se résume à trois petits pas :
un pas pour croire
et un pas pour espérer,
et encore un pas d'amour,
cette force qui m'a permis de vivre pendant cinq ans.

Tant et tant de choses à dire

Je voudrai pouvoir te dire,
Tout ce que j'ai au cœur,
Tout ce qui est triste,
Tout se qui se meure.
Je voudrai pouvoir crier
Que ce n'est pas trop tard,
Que je peux parler,
Même avec retard.
C'est dans ce silence
Que mes mots s'élancent
A travers le ciel
Où tout est pareil.
A vous de comprendre
En lisant ces vers,
Tout ce qui est triste
Et tout se qui se perd.

L'unique oublie

Ai-je vraiment réalisé d'avoir tout perdu,
Je ne veux oublier de t'avoir eu et connu.
Pourquoi tant de larmes coulent sur mes joues ?
Pourtant je t'aime et t'aimerez toujours.
Je suis triste, la nuit, que tu ne viennes plus ;
Tellement triste, de te savoir si loin de nous.
Mais la tristesse et l'oublie provoque les larmes,
Les larmes ne prouvent rien que de la tristesse.
Et moi, je suis là, évoquant tout nos souvenirs,
Nos peines, nos ennuis, nos regrets et nos folies,
N'Oubliant jamais tout ces pleurs qui nous ont fait si mal
Et j'en conclus quelque chose de très banal
C'est que...
Dans la vie, on ne peut, on ne peut qu'oublier
Oublier seulement, mais jamais oublier de pleurer

Il est l'heure désormais
D'arrêter de compter
Les jours, les heures sans toi.
Il est temps à présent
D'aller au gré du vent
S'envoler vers demain,

Les souvenirs resteront
Les larmes sècheront
Et les anges nous diront :
"Stéphane n'est pas au ciel,
Il souhaitait redescendre"
Et d'un baiser sur ma joue,
Renaîtra de ses cendres?

Non. Il est l'heure je le sais
D'arrêter d'y compter.
Les jours se feront sans toi.
Je suis seule à présent
Au cœur d'une foule de gens
Et je sombre dans le chagrin.

......Je t'aime.....
......Je t'aime.....
......Je t'aime.....

A mon fils qui vit en moi

"Je t'aime"