Tant de fois j'ai aimé à perdre la raison.Dieu pourquoi ?
Tant de fois j'ai aimé à perdre la raison
Dieu pourquoi ? Pourquoi c'est comme ca…?
N'ayant pas eu de veine avec quelques savants
J'ai écrit de mon mieux pour composer ces vers ;
Voyant que la neuvaine et tous ces faux semblants
Me donnait le droit d'être heureuse sur terre.
Tant de fois j'ai aimé à perdre la raison
Je me suis détournée du chemin tout tracé
Et j'ai brulé mes ailes au feu de la passion
Papillon, du printemps, au début de l'été.
Pourquoi ô jours amers, avez vous pris mon âme
Qu'ai-je donc fait de mal, pour être ainsi traitée?
Suis-je donc la plus odieuse des femmes?
Pour devoir souffrir et devoir l'accepter?
Ho douleur épargne donc enfin mon cœur
Pourquoi supporterais-je autant de sortilèges
Qui m'empêche d'être aimée, et d'avoir le bonheur
La vie n'est-elle au fond qu'un immense cortège?
Qui ne finit jamais, sauf au pied d'une tombe!
Je veux vivre ma vie, cruelle destinée
Et croiser sur ma route, trop étroite et trop sombre
Le seul trésor que vraiment je voudrai:
Celui d'être aimée.
Moi aussi j'ai aimé à perdre la raison
Je n'avais devant moi que ce bel horizon
J'aurais voulu partir et trouver le courage
De mon ancienne vie, pouvoir tourner la page
Je n'ai pas su le faire, car je devais quitter
Celui que j'aime encore, qui vit à mes côtés
Seul mon cœur c'est trompé, mon corps restant fidèle
Je n'aurais supporté me voir devenir encore seule...
J'ai vécu cet amour comme l'on vit un art
Gardant ma pureté, ancrée dans ma mémoire
Je ne renonce pas...ne le fera jamais!
Je n'ai pas su lui dire " je t'aime" à l'imparfait
Ce serait lui mentir, il fait partie de moi
Mais je ne peux donner ce que je ne suis pas
Comme Si mon cœur était vide, il n'avait pas d'attaches
J'aurais sans doute osé, j'aurais été moins lâche
Mais est ce lâcheté de vouloir refuser
Lorsque l'on aime encore, voir des larmes couler...?
Entre nous deux, amour-tendresse...amour-passion
Je finirais un jour...par perdre la raison...
Faire passer les autres avant moi même me permet d'oublier...où de faire semblant...!
Celui d'être aimée.
Pour moi, notre amour,
Devait durer toujours.
Joli message, y croire me fut facile.
Jusqu'au moment où tu as choisi,
De rompre la trajectoire duo subtile.
Note vie.
Ton départ m'a laissé transi.
Sur le bord, avec clichés jaunis
Ma douleur ne s'est pas calmée,
Bien au contraire, celle-ci prend de l'ampleur.
Drôle est la saveur.
Je ne peux que la regarder,
Grandir, évoluer.
Je n'ai pas force de m'éloigner.
De t'effacer.
Pour moi, notre amour n'est pas terminé.
Les larmes envoient toujours les messages.
Que le cœur ne peut envoyer en paroles…
Dis-moi
Dis moi ce qu'il t a pris
Dis moi ton ressenti
Dis-moi ce que tu fuis
Écris-moi
Écris-moi le pourquoi
Écris-moi ton émoi
Écris-moi toi et moi
Et si de ta bouche
Plus rien ne bouge
Et si de tes mains
Plus rien ne vient
Alors...
Alors regarde-moi
Dans ton regard je puiserai
Je puiserai
Tout les aveux tous les non dit
Tes interdits...
Regarde-moi droit dans les yeux…
Car au moins eux ne trahissent pas…
Savoir oublier...
J'erre lentement sur les sentiers cabossés
Je ne devrais pas regarder vers les passé
Je songe aux radieux moments échangés
Mais je vois trop de souffrances endurées
Trop de mélanges de sentiments sont nés
Quel positif peut-il bien en être retiré ?
L'impression que les douleurs ont écrasée
Tous les moments de bonheur partagés
La mémoire est tant sélective et innée
Voir la nuit le jour n'est que pure réalité
D'un lent quotidien si laborieux à gérer
Que je fais l'amalgame de mes pensées
Par petits pas il faut que j'arrive à avancer
Tous les cris stridents qui m'ont renfermé
M'empêchant de nouveau de communiquer
Mon chemin devra trouver de l'uniformité
Ca coûte combien le bonheur ?
Je me suis pris un coup au cœur
Comme un désir qui m'a saisi,
Ca coûte combien le bonheur,
Je suis prêt à mettre le prix.
Je suis prêt à damner mon âme
Et même un peu plus s'il le faut,
Retrouver enfin cette femme
Dois-je finir en lambeaux.
Et lui dire que c'était beau,
Et lui prouver que c'était nous,
Être heureux, malgré tout,
Mais être à l'heure au rendez-vous.
Vivre pour de bon des promesses
Même au risque d'être déçu,
Trouver de nouvelles ivresses
Me rendre folle à cœur perdu.
Puis prendre le ciel à témoin
A la fin de cette aventure,
Aller encore un peu plus loin
En ne faisant rien voir de mes blessures.
Et si j'y laisse ma chemise,
Si mes yeux doivent en pleurer,
Chassé de la terre promise,
Je vivrai seule mon éternité.
Ma plume ne bouge plus,
L'encre est présente,
L'inspiration semble un peu perdue.
Ma page demeure décevante.
Ma plume devenue immobile,
Ma main devient moins agile.
Le temps lui file,
L'horloge n'est pas complaisante.
La plume sur le bureau par nécessité,
Se pose à la façon docile.
A quoi bon insister
Ma plume abandonne pour aujourd'hui,
Elle en est presque sûre demain qui suit.
La page sera complétée…
Par petits pas il faut que j'arrive à avancer
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Un secret de mon cœur et mon âme...sourire!
Bisous doux...
