La clef de ton cœur. L'écho
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La clef de ton cœur
A l'aube d'une nuit si paisible
Je recherche au fond de moi toutes les cause plausible
Toutes celle qui nous uni, toutes celle qui fait que notre amour perdure
Ce que nous garderons de notre vie, ce qui ne restera pas de ces nuit si obscure
Je regarde tout autour de moi
Je te cherche, je ne te trouve pas
Une ombre magnifique plafonne mon âme
Un cœur amoureux rythme le mien qui s'enflamme
Je ne peux que le suivre, il m'emmène par la bas
Tout au fond d'un trou noir, tout au fond de ces bois
Ces battement se fond de plus en plus rapide
Le mien l'écoute tendrement en répondant d'un coup plus limpide
Dans cet obscurité, je tombe face a face
La barrière de ton cœur, il faut que j'y passe
En te découvrant, te charmant et en ne faisant que t'aimer
Ce fameux jour graver j'ai obtenue cet clef
En ouvrant, je trouve devant moi ce paradis
A jamais j'y resterai, pour toujours nous somme unis
Prend donc mon cœur je te l'offre sans problème
Chéri, je te le dis sincèrement Je t'aime
L'écho
Ne pas chercher à faire du joli.
Encore moins à réfléchir. Et laisser tout…
Aller. Oublier les basiques, les acquis.
Ne pas faire en sorte d'échapper à ce flou,
Qui prend, déshabille. Corrompt lentement.
Les sens. Perturbe juste l'instant.
Ne pas chercher à tenter de fuir.
Ni ici. Peut-être là-bas. Le corps tendu en avant.
Prêt à prendre le meilleur, et sans doute le pire.
Ne pas redouter la passion qui fait grincer les dents,
Qui force la chair à frémir sous l'absence.
Et pâlir. Pâlir tout en rougissant.
Quelle impudence.
J'ai les mots sous les doigts, les imprudents.
Ceux qu'on susurre à Minuit presque tombé,
Sous le repli des draps, aux lèvres abandonnées.
J'ai le goût de ce que l'on juge… La tentation.
Et ferme lentement les yeux. L'envie des sensations.
Mon dieu… Il me chavire à tout moment.
Alors je m'en mords l'inférieure. Et j'en ris.
C'est de sa faute je vous dis.
Aux déraisons qui glissent et désemparent davantage.
A ces souhaits sous la peau que l'on envisage.
A ce feu qui sied tant les veines. Le doux plaisir.
Qui vient noyer l'esprit, et l'empire.
La teinte, la vrille. Sublime. L'agresse.
De velours et de caresses.
L'opium est dans ses mots.
Il flingue les miens, m'arrondit le dos.
Taille les ongles pour griffer.
Comme pour mieux conquérir.
Le tendre, le Pire.
Il est une tentation.
Une rébellion.
Une affection.
Ma déraison.
Et je m'en passionne.
M'en rougit l'âme.
Prête à me faire mordre.
A rendre l'écho.
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`·. Tendrement ♥
`·. Clémence ♥