Ma Plume...Mes Mots...et Mes Maux...

CONFESSION DANS LA DISCRETION

Invisible Chagrin

  

Confession dans la Discrétion

 

 

 

 Mon coeur vide pleure.
Depuis mon départ, heure après heure.
Il ne peut comprendre ce silence,
Ressemblant à une frayeur.

Mon coeur reste lourd,
Depuis mon départ, jour après jour.
Solitude nullement choisie.
Reconstruire une autre vie.

Mon coeur tente de se soigner.
Depuis plus d'une année
La rupture à du mal pour être assimilée.

Mon coeur vient d'apprendre la survie.
Depuis le départ de l'amour,
Continuer, reprendre le tour

 

Il fait froid,
Le temps passe.
Douleur qui fracasse.
Il fait froid.
L'émotion conduit.
Je pense à tout ça.
Coeur dans son étui.


Il fait froid,
Chaleur disparu.
L'amour a quitté ce toit.
Il fait froid,
Rien ne t'a retenu.
Avec une valise, direction la rue.

Il fait froid.
Température en baisse.
Coeur lourd, l'ambiance encaisse.
Solitude sous ce toit.

Il fait froid.
Saison glaciale va de soi.
Aucun bruit,
Tristesse pire que l'ennui.

Il fait froid,
Relire tes lettres cela va de soi
Ton amour pour moi est passé.
Prendre tes mots pour me réchauffer.

Il fait froid,
Mon moral semble en baisse,
Le coeur encaisse.
Je vais m'endormir seul sous ce toit.

 

Je me sens étrange,
Un manque se fait jour.
Ta photo près de moi, coeur lourd.
Beau visage, agréable contour.

Je me sens triste,
De l'abandon, je prends la piste.
La cruelle décision,
Change la situation.

Je me sens déséquilibrée,
Depuis un départ,
Ayant assombri mon regard.

Je me sens perdu,
Notre lien ne peut être effacé.
Ton retour, je voulais espérer.

 

Je marche dans la rue,
Mes pas semblent un peu perdus.
Te chercher est un but, retenu.
Je vais m'y tenir, je tiens à noter le lien à son contenu.

Je marche ici,
Depuis que tu es partie.
Les paroles de mes amies,
S'effacent de mon esprit.

Je marche dans le noir,
Drôle de couleur pour garder l'espoir.
La direction du moment, vers le soir.

Je marche, inconsolable,
Peine palpable.
Être inconsolable.

Mon coeur se serre,
La tristesse a fait son entrée.
Elle grandit, me fragilise,
J'ai l'impression de tomber.

Mon coeur se serre,
Les mots, eux, se paralysent.
Visage sans éclat; fatigué.
Pourrais-je faire face, avancer.

Mon coeur se serre.
Réelle devient l'analyse.
Inutile de se le cacher.

Mon coeur se serre,
Je ne peux le soulager,
Uniquement m'adapter.

 

Il pleut,
Dans mes yeux.
Pas la grosse averse,
Juste quelques gouttes.

Il pleut,
Avec discrétion.
La peine se déverse.
Elle vient de partir.

Il pleut,
Se faire à la situation.
L'amour se retire.

Il pleut,
Son duo vient de finir.
Se passer de lui va être coûteux.

 

La nuit tombe,
Lumière discrète succombe.
Soir prolongera la couleur,
Pendant la nuit douceur.

La nuit se place,
Ainsi se fait le face à face.
Le silence arrive,
Tandis que certaines émotions chavirent.

La nuit me côtoie,
Dans tes yeux pourtant absents,
Je me noie.

La nuit progresse,
Mon cœur est en détresse
Amour, que l'on conjugue au présent.

 

J'ai froid,
Je suis partie.
Je suis sans toi.
Les souvenirs jaunis
Présent, ils me côtoient
Tous les jours, ici.
J'ai froid,
Sur mon lit.


Depuis mon départ, je me noie
Ta présence demeure largement ici.
Doucement, le fond est ma voie.
Incompréhension de mes amies.
J'ai froid.
Aucune réponse à mon malaise n'a surgi.
Je t'aime toi.

 

J'ai froid,
Je pense a toi.
Je t'ai quitté, pourquoi ?
La réponse est pure, et je m'y noie.

J'ai froid,
De me réchauffer je me dois. 
J'ai repris ma liberté.
Refaire une vie sans toi.

J'ai froid.
La tache aura des difficultés.
Il faut y croire, ne pas retomber

J'ai froid,
Je pense de nouveau à toi.
Cela ne m'empêchera pas d'avancer.

 

Le temps a passé, les couleurs ont changé dans la rue,
Es-tu heureux, on ne s'est plus revus.
En revenant ici, les murs reflètent, ma tristesse, son contenu.

Souvenir douloureux, dans la rue,
Le soleil, depuis prend une vivacité, ou la, j'efface me tu.
Ainsi, la suite de ma route sera moins ardue.
Repartir, vers un nouveau paysage.

Choix dans mon cœur entrevu.
Cette fois, ce ne sera pas une fois de plus.
Il me faut m'y tenir, reprendre le dessus.

Aller de l'avant, avec ambition agréable bonus.
Je suis partie.
Il me faut refaire ma vie.

 

Je me retrouve ici seule, dans l'étroite rue
Mon esprit, a du mal à avoir une logique dans les pages lues,
Comme si l'ouvrage que nous avions écris en communs, je et tu,
Possédait une reliure de tissu.


Déchirée par le vent d'une déception, ne s'arrêtant plus.
Je suis partie, pour des raisons que je n'ai pas retenues.
Le pauvre garçon, s'est retrouver seul dans cette rue,
Au mois de mai, de juin je ne m'en souviens vraiment plus.

 

Je crois encore que je pleure,
Depuis près d'une heure.
Mes yeux sont rouges, sur les contours.
Je suis partie, fin d'amour.


La rupture a eu lieu,
Dans la rue drôle d'endroit pour des adieux.
Je crois qu'il s'effondre, sanglots copieux.


Que faire ? Aller le voir,
Ou le laisser toucher le fond de son désespoir.
Je crois qu'il pleure,
Il a touché du doigt un bonheur ?
Dans son présent il semble l'avoir perdu.
Une tristesse d'amour n'a pas a résonné dans rue.

 

 

Mon cœur chavire,
Lorsque je me mets à lire,
Dans mes yeux ne pouvant mentir.
Mon cœur coule,
Lorsque il m'adresse la parole.
La tristesse que je ressens me saoule.
Mes pieds semblent ne plus toucher le sol.
Tête n'ayant plus de boussole,
Mon cœur est en coup de foudre,
Lorsqu' il s'approche, mes jambes de bouger,
Ne peuvent se résoudre.
Lorsque on trouve l'amour, il suffit de le conjuguer.

Hélas trop tard !

 

 

Écoute,
Même si cela te dégoûte,
Si tu hausses une voie fragile,
Englobant parole, après parole ton plafond en voûte


Écoute,
Tu m'en veux.
Dans mes magnifiques yeux.
Se trouvent en compile,
Des reproches, qui dans ton esprit,
Comme un collier de perle s'enfilent.
Tu m'aimes, je blêmis.


 

Écoute,
Mes larmes j'aimerais les retenir,
Pour les éviter,
Il m'aurait été facile de te mentir,
En jouant les amoureux transis.


 

Écoute,
Ma douleur mérite ton honnêteté,
Je t'aime, mais je préfère te quitter,
Voilà les derniers mots qui ont résonné,
Sous la voûte.

 

Sur un sable brûlant,
Un pied d'une personne aimant.
Au futur, au présent surtout maintenant,
Un cœur immense symbole du sentiment.

Sur un sable face mer, l'amour reste tendrement placé.
Tout le long de la journée.
Du zénith au couché.
Mais le temps venu, il dut s'effacer.

Sur le sable abandonné,
Le souvenir devenu passé,
Ne peut se regarder.

Sur le sable blanc, le lien amoureux,
A disparu peu à peu.
Le chagrin lui a du mal à s'apaiser.

 
 

Dans le silence de ma chambre immobile,
Je n'ai goût, ou la patience de croire,
A une amélioration infime ;
Dites moi alors pourquoi rester sur le fil,
Sur un bord de ce rêve, qui à chaque fois se défile
Pourquoi rester docile,
Faire comme si,
Le jour d'après,
Sera celui des avancées.


Je ne veux pas, je ne peux plus rester calme, assagi.
La petite fille a grandie,
Dommage mais avec le temps qui a respecté,
La levée ainsi crayonnée.
La petite fille a compris.
Que dans le silence de cette chambre immobile.


Résonnera un mot, comme unique presque indélébile,
Peu importe les efforts du présent, du passé,
Au fond d'elle, elle sera figée.
Dans le silence la chambre immobile,
Un adulte à peine ébauché a des larmes au coin des cils.

 

Les valises ne sont pas encore bouclées,
Ce départ, devant moi, sobrement évoqué.
Mais cette fois, tu sembles bien décidée.
Froid, comme un courant parcourant l'échine,
La radio nous passe de la biguine.
Sueur sur le front, anodine.


 

Je te parle en rêvant d'une aspirine,
Gros, petit modèle, peu m'importe,
A présent que tu vas tourner la poignée,
Fermer sans bruit la porte.
La maison n'est pas encore vidée,
Contenu, avec soin, classé,
Dans les sacs, des cartons prévus à cet effet,
Que la fièvre, depuis l'annonce, me fait chavirer ?
Horrible vision, solitude que personne ne veut côtoyer.


Tandis que ce remède refuse la noyade,
Alors que moi je ne veux pas rester dans la rade,
D'un amour, qui sans être jugée,
Est déjà condamnée.
Toi, tu déverses en cascade,
Les détails concernant un amour véritable,
En appuyant sur les mots, en soupesant chaque vocable,
Finis flirts, aventures, médiocres passades.


Le bon, le vrai sans conteste,
Par mes yeux, par mes gestes.
Heureuse sans peine je compatis,

Larme coulant sur une joue,
Joue de porcelaine, se brisant dans un regard.
Regard de l'homme qu'elle aime et qui la désavoue.


Je reste là, sonné, debout,
Mais mon pauvre coeur, éperdu, éclaboussé par cette boue,
Veut à tout prix croire aux relations qui se renouent.
Midinette, héroïne de mon propre drame,
Alors que je tire le trait définitif.


Moi aimante je me déchaîne afin de retenir l'hypothétique, mais glorieuse trame.
Larmes coulant sur les joues,
Retenir mes mains, me battre jusqu'au bout,
Même ses yeux, autrefois amoureux,
Se sont teintés d'une indifférence, se rapprochant du scandaleux.


Il lui parle encore, pour mieux la repousser...
Notre passade fut agréable, mais la page doit tourner,
Histoire d'un baratin aux rouages si bien huilés...
Joli papillon, dont un compliment tourné adroitement,
Le fit échouer dans la grosse maille du filet.
Trente et un petits jours, plus de prince charmant.
Pauvre est papillon, qui se brûla,
Toutes les nuits, une larme sur la joue coula,
Alors que son chasseur de sa tristesse jamais ne se douta.

 

 

Je suis partie, comme cela,
Sans question, sans te donner une réponse.
Après des années, tu prends tes affaires tu me laisses abandonné là.
Ma vie s'effondre, et toi tu fonces.

Je suis seule comme cela,
L'amour se cultive tu disais.
D'après le mot que tu as laissé,
Mon travail, en ce domaine n'était pas parfait.

Notre amour, comme je le constate,
Était à tes yeux en dehors de la date,
Alors que pour moi il était de ceux que l'on flatte.
Le courage, a dû te manquer, les larmes couler,

Je suis partie, comme cela.
Étourdie, cette trahison m'épate,
Toi, qui me parlait d'honnêteté,
Tu as fait très fort dans la lâcheté

 

Je ne crois plus à rien,
Mon moral est de chien.
En perdant ce sentiment, ce lien,
L'amour auquel on tient ;
Le vrai l'unique, lorsque l'autre est sien.
J'ai reculé de combien ?


La question est pertinente, je ne me sens pas bien,
Tandis que mes jambes flageolent, plus rien ne tient.
L'assurance semble avoir disparue, comme la belle et son vaurien.
On peut voir son regard noyé dans le sien,
À cette odieuse pensée, je perds tout maintien
Tandis qu'une envie de vomir me vient.
Je n'y comprends rien,
Mais à quoi bon réfléchir, l'amour c'est elle qui le détient.
L'octroyer à l'un ou à l'autre de droit lui revient.
En laissant la place, je le comprends que trop bien.

 

PEINE RETENUE

 

 

 



17/09/2010
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